Des îles farouches et accueillantes

Les îles bretonnes sont en même temps farouches et accueillantes. Elles conjuguent des aspects sauvages et d’autres hospitaliers, des côtes rugueuses exposées à des vents et courants violents, et de grandes plages de sable fin, des paysages désolés et des fleurs rares. Pour en découvrir tous les contrastes, oubliez votre voiture, et partez, le nez au vent, à pied, à vélo ou à cheval. Visitez les petits villages et les landes désertes. Revue de détail des îles les plus connues.

Ile de Bréhat : c’est l’île des figuiers, des eucalyptus, des palmiers…, car elle bénéficie d’un microclimat. “Le Bourg” est la ville principale et vous y apprécierez sa petite place, ses ruelles et une église du XIIe siècle. Quant à la côte Nord, plus sauvage, vous y admirerez le granit rose.

Ile de Sein : à l’extrémité de la pointe du Raz, l’île de Sein est toute plate ; elle culmine à 8 m ! Visitez le petit village ramassé sur lui-même ainsi que l’église Saint-Gwénolé, qui date du début du XXe siècle.

Ile d’Ouessant : à visiter à pied, à vélo ou à cheval, car c’est une île sans voiture. Elle séduira les amateurs de paysages sauvages et d’ornithologie.

Ile de Batz : son microclimat en fait un véritable potager, et vous y trouverez choux-fleurs, oignons, pommes de terre… ainsi que de charmantes criques, et une très belle plage (sur 800 m).

Ile de Groix : une île aussi bien pour les adeptes de plage et de sports, que les amoureux d’oiseaux (réserve naturelle de Pen Men), ou les amateurs de villages de pêcheurs (Le Méné).

Belle-Ile-en-Mer : la plus grande île de Bretagne compte 4 communes : le Palais avec sa citadelle et son port, Sauzon et ses couleurs pastel, Bangor au bord de la côte sauvage et Locmaria et sa petite place. A parcourir à pied par les sentiers côtiers.

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